Thursday, June 5, 2014

[EVS Life] #happyEVS Part 2


The aim of our on-arrival training was to inform us about all questions referred to our EVS experience. Our trainers, Judith and Attila, helped us to think about the “why” and the “how” during those five days training.
The reflection sessions were interspersed with games to divert us and to get closer to each other.

Notre “on-arrival training” avait pour but premier de nous informer sur toutes les questions relatives à notre expérience SVE. Nos formateurs, Judith et Attila, nous ont amené à réfléchir sur les “pourquoi” et les “comment” durant ces cinq jours de formation.
Les sessions de réflexion étaient entrecoupées de jeux pour nous divertir et nous rapprocher les uns des autres.

 
Each day, a new programme.

The training programme

Among those "exercises", I can list some of them:
* Each volunteer created a poster describing his/her project. Scissors, glue, felt pens… As in primary school, each one plunged into the creation stuff and then talked about his/her mission during few minutes.
* A quiz about our knowledge on Hungary and Hungarians, an interesting exercise for us ‘cause we didn’t know the Hungarian culture very well. We know now it’s full of discoveries and it has a complicated History.
* What are the key competences we can get during an EVS? We never think enough about it… Learning to learn, knowing how to communicate in a foreign language, accepting the others despite the differences, doing entrepreneurship… But digital, mathematical, scientific and technologic competences as well (it’s really useful during a trip).
* We also learnt to work in group. One of the exercises consisted in dreaming up an week-long ride in a train with fictional characters with atypical profiles and finding a consensus to chose only 6 of them: 3 people we would like to travel with and 3 others we would least like to travel with. According to the sensitivity of each of us, the exercise mobilised us during 45 minutes of discussion and pourparlers.
 
Parmi ces “exercices”, je peux en citer quelques-uns :
* Chaque volontaire a créé un poster qui décrit son projet. Ciseaux, colle, feutres… Comme à l’école, chacun s’est plongé dans la création pour ensuite parler en quelques minutes de sa mission.
* Un quizz sur nos connaissances de la Hongrie et des Hongrois, un exercice intéressant pour nous tous car la culture Hongroise nous est quasiment inconnue. On sait désormais qu’elle est riche de découvertes et d’une Histoire complexe.
* Quelles sont les compétences-clés que l’on peut acquérir pendant un SVE ? On n’y réfléchit jamais assez… Apprendre à apprendre, savoir communiquer dans une langue étrangère, accepter les autres maglré les différences, entreprendre… Mais aussi les compétences digitales, mathématiques, scientifiques et technologiques (sait-on jamais, cela sert énormément quand on voyage).
* Nous avons aussi appris à travailler en groupe ! L’un des exercices consistait à s’imaginer voyager pendant une semaine dans un train avec des personnages fictifs aux profils atypiques et à trouver un consensus pour choisir seulement 6 d’entre eux : 3 avec lesquels on aimerait voyager, 3 autres avec lesquels il n’en est pas question. Selon la sensibilité des uns et des autres, l’exercice a nécessité 45 minutes de discussion et de négociation.

The best part of the week: to go in the city center!

We had to quote our motivations for doing an EVS but also the goals we would like to achieve during this experience. Our trainers told us about the Youth Pass and the way to complete it as well, but also all the advantages we should get with it and what is exactly the non-formal learning.

Nous devions aussi citer en quelques phrases les motivations qui nous ont poussé à faire un SVE, mais aussi nos buts à accomplir durant cette expérience. Un retour sur soi bénéfique, je dois dire… Nos formateurs nous ont aussi parlé du Youth Pass et de la façon dont on peut le compléter, les avantages qu’il nous apporte et ce qu’est exactement l’apprentissage non formel.

Coffee break every morning and afternoon :)

The "Happy project"


If we had more questions, we could “send a SMS” in an “Erasmus+” tote-bag thanks to some stickers. One evening, these “paper SMS” were used in a talk-show organised by Attila and Judith: this moment was supposed to answer to all our questions about Hungary and their culture.

Si nous avions des questions supplémentaires, nous pouvions “envoyer un SMS” dans un Tote Bag Erasmus+ via des post-it. Un soir, ces “SMS de papier” ont servi durant un talk show organisé par Attila et Judith : ce moment était destiné à répondre à toutes nos questions sur la Hongrie et leur culture. 

The best time of the week was on Wednesday. We went to the city center of Budapest by boat :)
This day we had to create a video clip on the Pharell Williams’ song, “Happy” (you know now why our training was entitled “#happyEVS”). We spent the afternoon with a guide in the town and we stopped sometimes to dance while Judith was filming us. The debriefing was stormy because, as we had to realise the project by our own, we didn’t agree about everything on the project.
Concerning the last exercise, it was also the hardest. One by one, we had to talk in front of everybody about something personal. A lot of us used Youtube to share videos, some of us dared to show pictures of them and others talked about their life.
I think we all were gone with something more inside us. For all of us, this week is unforgettable. 

Et le véritable temps fort de cette semaine fut le mercredi. Ce jour-ci, nous sommes partis dans le centre-ville de Budapest en prenant le bateau :)
Cette journée était destinée à la création d’un clip sur la chanson de Pharell Williams, “Happy Song” (d’où le nom de notre formation “#happyEVS”). Nous avons passé l’après-midi à suivre un guide dans la ville et à nous arrêter parfois pour danser pendant que Judith nous filmait. Le débriefing a été houleux car, étant livrés à nous-mêmes pour la réalisation, nous n’étions pas tous sur la même longueur d’ondes sur ce projet.
Quant au dernier exercice, il a été aussi le plus dur. Un à un, nous devions parler devant tout le monde de quelque chose de personnel. Beaucoup ont utilisé Youtube pour partager des vidéos, certains ont osé montrer des photos d’eux et d’autres ont parlé de leur vie.
Je pense que nous sommes tous repartis avec quelque chose en plus. Pour chacun de nous, cette semaine est inoubliable. 

Ophélie

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