Monday, April 14, 2014

[EVS Project] Work in progress


"Don't make coffee, make decisions”, you can read it on a flyer I brought from one of our excursions in Budapest’s universities last Wednesday. That day, we were in the prestigious Corvinus University to put copies of our new poster on the charts.

Don’t make coffee, make decisions”, peut-on lire sur un flyer que j’ai rapporté de l’une de nos excursions dans les universités de Budapest, mercredi dernier. Ce jour-là, nous étions dans les locaux de la prestigieuse Université Corvinus pour y coller des exemplaires de notre nouveau poster sur les tableaux d’affichage.

The poster "international job-seeking"

But first, let’s talk about this poster which we really made an effort in designing it with Adobe Indesign.
Why a poster? The answer is simple (and I have already mentioned it in this article [link]) : we had to develop our communication regarding our project and clarify our speech in its entirety - it’s still uncertain in English - for a more efficient collection of contacts.
About the creation process, Delphine was definitely the boss in this task (because I don’t really use this software - or rarely, I’m quite at ease in the Photoshop team) and I just gave my opinion about the style and the keywords on the poster.
The most delicate thing in this matter was to find THE good idea for catching the young student/job-seeker’s attention and, of course, stimulating him/her for the research.
We had to think about an easy and efficient imagery and about the official colors of MediaGo as well. What a program! But the result is quite good, don’t you think?

Mais avant toute chose, parlons de ce poster que nous nous sommes appliquées à concevoir avec Adobe InDesign.
Pourquoi un poster ? La réponse est simple (et j’en parle déjà dans cet article) : parce que nous devons développer notre communication sur notre projet, éclaircir la totalité de notre discours - encore trop hésitant en anglais - pour une meilleure récolte d’adresses e-mails.
Concernant le processus de création, Delphine était aux commandes (parce que je me sers rarement de ce logiciel, je suis plutôt de la team Photoshop) et je me contentais de donner mon avis sur le graphisme et les mots-clés à mettre sur le poster.
Le plus délicat dans cette affaire, c’était de trouver LA bonne idée pour capter le regard du jeune étudiant/en recherche d’emploi et, bien sûr, de piquer son intérêt pour la chose.
Il fallait tabler sur un visuel simple mais efficace, certes, mais également penser aux couleurs de MediaGo. Tout un programme. Mais le résultat est plutôt bon, je trouve. Pas vous ?

This poster had already found its place on Facebook pages of some international groups in Hungary (Erasmus, EVS). But our work consists of using it inside the universities to promote our project close to concerned people.

Ce poster a déjà trouvé sa place sur les pages Facebook de certains groupes d’expatriés en Hongrie (Erasmus, SVE). Mais notre boulot, c’est aussi de s’en servir dans les universités pour faire la promotion de notre projet auprès des publics concernés.

Delphine's putting the poster on a board into the library.

Into the universities

Before to go at Corvinus University, we obtained contacts from our coordinator to enter freely into the school. There, we met ladies who works in the Erasmus service because we wanted to put copies of our poster on the corridors. Delphine left another one in the library’s hall.
This day, the school hosted some companies to help young people to find a job (or an internship) for the summertime. In spite of this fact, students weren’t so motivated to give their email addresses: maybe they consider that this information is too personal… Or they’re afraid of receiving adverts from us all the time.
Then we restarted the experiment in the Central European University. We didn’t succeed there either. Delphine managed to collect 4 additional contacts, but we understood that we should modify our speech.

Avant de nous rendre dans l’université Corvinus, notre coordinatrice nous a obtenu des contacts afin d'entrer librement dans l'école. Nous avons donc rencontré les personnes en charge du service Erasmus car nous voulions laisser des exemplaires de notre poster dans les couloirs. Delphine en a laissé un autre dans le hall de la bibliothèque.
Ce jour-là, l’établissement accueillait quelques entreprises pour aider les jeunes à trouver un job (ou un stage) d’été. Malgré cela, les étudiants n’étaient pas très motivés à donner leur adresse e-mail : c’est peut-être une information qu’ils considèrent comme bien trop personnelle... Ou bien ils craignent de recevoir des publicités de notre part toutes les semaines.
Puis nous avons renouvelé l’expérience dans l’Université d’Europe Centrale. Nous y avons aussi eu peu de succès. Delphine a tout de même réussi à collecter 4 contacts supplémentaires, mais nous avons compris qu’il fallait changer notre discours.

 
Students in Corvinus University.

Now, we realised that students are a little bit scared by our doorstep. So we had to highlight our project as volunteers and cross our fingers for arousing their enthusiasm and solidarity…

Désormais, nous avons compris que les étudiants sont un peu effrayés par notre démarche. Il nous faut donc mettre en avant notre projet en tant que volontaires et croiser les doigts pour susciter leur enthousiasme et leur solidarité...

Ophélie

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